Dimanche, de nombreuses associations d'anciens combattants se sont retrouvées afin de commémorer le 73e anniversaire de la libération de la commune de Saint-Symphorien. Au cours de trois commémorations successives, Brigitte Garanger-Rousseau, adjointe représentant Serge Babary, était entourée d'officiers et d'élus qui ont déposé des gerbes au cimetière, au monument aux Martyrs de la Résistance, près de la base aérienne, et aux monuments aux morts de la place Coty.
Celle-ci a souligné combien « il est important de rappeler, 73 ans après, le sacrifice et le combat de ceux qui nous ont précédés. En ce jour du 20 août 1944, le jour se lève sur une ville qui compte ses morts et reste traumatisée par le massacre de Saint-Symphorien. Le départ des troupes allemandes marque la fin de quatre longues années d'occupation nazie. La libération de la commune de Saint-Symphorien est une étape dans la progression des forces alliées pour une ville enfin libérée le 1er septembre 1944 ».
La Fnaca, l'UNC, la Fédération nationale Maginot des anciens combattants, la Fopac, l'Amicale des chasseurs à pieds, Isaac Touati, rabbin de la communauté de Tours, René Cohen, représentant Paul Levy, président de l'Association culturelle israélite de Tours, avaient tenu à se rassembler autour des porte-drapeaux pour cette matinée du souvenir, même si tous ont regretté l'absence de la population.
Profitant d'un moment de convivialité sur cette place Coty, Yves Massot, adjoint à la circulation et à l'environnement, en a annoncé le prochain embellissement à l'horizon 2018, « avec une zone à 20 km/h desservant les commerces et une allée arborée faisant tout le tour d'une place paysagère mixte proposant marché et stationnement gratuit ».
Source : NR
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