lundi 10 septembre 2018

FNCV37 : Lettre de félicitation de la jeunesse ds sports et de l'engagement associatif


La Fédération française des Médaillés de la jeunesse des sports et de l’engagement associatif (FFMJSEA) a pour vocation d’encourager le développement des pratiques sportives et éducatives, mais a aussi la volonté d’honorer l’ensemble des personnes bénévoles, hommes ou femmes, engagées dans les mouvements associatifs sportifs ou socio-éducatifs.

Le vendredi 07 septembre, Joël Besnard, maire de Nouzilly et son adjoint, Jean Petitbon, recevaient le comité départemental d’Indre-et-Loire en l’occurrence Jean-Marie Bonneau et Pierre Bonneau, vice-présidents, ainsi que la secrétaire générale, Claudette Sestillange, pour remettre la « Lettre de Félicitation » du comité à 14 bénévoles ayant été sélectionnés pour leurs actions depuis de nombreuses années dans les différents clubs ou associations de la zone nord-est du département sélectionnées par les différents responsables de secteur, dont Joël Lefeuvre, qui a lui-même pratiqué le judo durant 45 ans.

Chacun, au cours de cette cérémonie, s’est vu attribuer cette lettre sous forme d’un diplôme. Les personnes honorées sont : Philippe Bernardet de Nouzilly, Pierre Grenouilloux de Saint-Ouen-les-Vignes, Jean-Mary de Monnaie, Yvon Bourgaut de Cerelles, Olivier Bouvet de Luynes, Jérôme Brouillon de Monnaie, Simone Delavie de Neuillé-Pont Pierre, Nicole Dennevault d’Auzouer-en- Touraine, Gérard Douadic de Rochecorbon, Jean-Michel Hamon de Rochecorbon, Bernard Joulin de Fondettes, Patrick Souty de Chanceaux-sur -Choisille, Dominique Tabourdeau de Pocé et Julie Vende de Crotelles.

Notre section tient à féliciter notre adhérent Dominique Tabourdeau pour cette récompense qu'il mérite dû à son engagement dans l'associatif depuis de nombreuses années.




INFO : CPMI-VG concernant les enfants et orphelins atteints d'une infirmité incurable


mercredi 5 septembre 2018

COMMEMORATION : La libération de la ville de Tours





Il y a 74 ans, la ville de Tours était libérée


Le 1er septembre 1944, la ville de Tours était libérée des mains de l'armée allemande. C'est cette journée historique qu'a racontée samedi matin le maire Christophe Bouchet lors de la cérémonie commémorative du 74e anniversaire de la libération de la ville.
"Au soir du 1er septembre, Tours était un amas de décombres, avec 1.300 familles sans abri. Mais Tours était libre", a déclaré Christophe Bouchet à l'hôtel de ville, lors d'une courte cérémonie tenue en présence de la préfète Corinne Orzechowski, du président du Conseil départemental Jean-Gérard Paumier ou encore du député Philippe Chalumeau.

C'est le 12 août 1944 que l'armée du général américain Patton avait repris le nord de l'Indre-et-Loire, poursuivant ensuite sa progression, pour arriver aux portes de Tours à la fin du mois. Le 1er septembre, à 7h30, les Allemands abandonnaient la ville, après avoir fait exploser le pont du Cher.
Le souvenir de cette journée a également été évoqué lors d'une brève cérémonie au bureau de Poste du boulevard Béranger, en hommage aux 34 postiers morts en déportation et lors des combats de libération de la ville.

Ce jour-là était paru le premier numéro de La Nouvelle République et la journée commença par une explosion, celle qui détruisit le pont sur le Cher, miné par des Allemands sur le départ. Le 1er septembre 1944, Tours était libérée, épilogue de plusieurs semaines d’attente et d’angoisse parmi sa population. « Au soir, Tours était un amas de décombres, avec 1.300 familles sans abri. Mais Tours était libre », a déclaré ce samedi matin Christophe Bouchet, lors de la cérémonie organisée à l’hôtel de ville.

En présence de plusieurs élus (le président du conseil départemental Jean-Gérard Paumier, le député Philippe Chalumeau, le conseiller régional Jean-Patrick Gille) et de la préfète Corinne Orzechowski, le maire de Tours a rappelé les principaux événements de cette journée historique : l’arrivée à l’hôtel de ville de Jean Meunier, président du Comité de libération de la ville et cofondateur de la NR, la confiscation du matériel de l’imprimerie Arrault, l’arrestation du préfet collaborateur Mussot et son remplacement par Robert Vivier… Après le Débarquement de juin 1944, et les intenses bombardements sur la ville qui suivirent, les troupes du général américain Patton étaient parvenues dans le nord de l’Indre-et-Loire le 12 août. A la fin du mois, Saint-Symphorien était libéré. Puis ce fut donc Tours, au cours d’une journée qui vit le drapeau nazi piétiné sur les marches de la ville. « Dans la douceur du soir, notre ville, avec le soutien de ses habitants, pouvait entrevoir enfin le lointain rayon scintillant de la reconstruction », a souligné Christophe Bouchet, hier, 74 ans après.

SOURCE : NR