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Marseillaise jouée par l'Orchestre d'harmonie, revue des troupes, lecture des messages, ravivage de la flamme, dépôt de gerbes, remise de décorations, honneurs, Chant des partisans. La présence active des enfants des écoles, et leur travail sur la guerre, était très appréciée (écoles Anatole-France, Musset-Vigny, Molière).
La cérémonie s'est déplacée ensuite à l'hôtel de ville.
Comme dans tout le département, hier, un hommage historique a été rendu pour cet anniversaire, 1945-2015. Mais, la collecte du Bleuet de France se poursuit jusqu'à demain dimanche, dans toutes les communes. « Nous avons plus de succès dans les villages, où les gens se connaissent, où il y a plus d'anciens », explique ce collecteur, parmi 250 autres en Touraine, sur le pont hier à Tours.
Le Bleuet, qu'on s'épingle à la boutonnière, n'est pas vendu mais offert. A chacun de donner la somme qu'il veut. « On nous donne des pièces, des billets aussi », de l'argent placé dans un tronc mobile. « La tradition du Bleuet de France symbolise la fidélité, le souvenir, la solidarité.
L'argent collecté permet de soutenir les soldats, de maintenir à domicile des anciens combattants et veuves de guerre et de soutenir des centaines de projets mémoriaux », précise Nathalie Paton, coordinatrice régionale " Mémoire et Communication " à l'Onac (Office national des anciens combattants).
La tradition du Bleuet date de 1918. « Il n'y en a eu que 300 vendus sur Tours l'an dernier, trop peu » observe Christian Lapaque, président de l'UDAC37.
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