mardi 18 décembre 2018
samedi 15 décembre 2018
lundi 10 décembre 2018
COMMEMORATION : Journée nationale d'hommage aux "Morts pour la France" pendant la guerre d'Algérie et les combats du Maroc et de la Tunisie
Joué Lès Tours : Un hommage aux anciens combattants
Après les dépôts de gerbes et le recueillement, Jean-Pierre Theme, président départemental de l’Union des anciens combattants, a tenu à rappeler l’importance de cette commémoration, « pour que la France ne tienne pas à l’écart de notre mémoire ceux qui sont morts pour son drapeau », associant à cet hommage « ceux d’entre vous qui ont partagé, avec nos camarades harkis et les victimes civiles, les affres de ce conflit toujours mal cicatrisé ».
Le maire, Frédéric Augis, a lu le message de Geneviève Darrieussecq, secrétaire d’État auprès du ministre de la Défense, rappelant que « cette guerre âpre, éprouvante, a marqué pour la vie tant de soldats et familles ».
Depuis 2014, un monument constitué de trois stèles commémore la mémoire des victimes du département lors de ces différents conflits qui se sont déroulés entre 1952 et 1963. 188 noms de Tourangeaux y figurent.
A l’heure des discours, le représentant de l’Association départementale des anciens combattants (Adac), Roger Leblanc, a rappelé le sacrifice et la douleur de tous les jeunes appelés du contingent envoyés à l’âge de 20 ans de l’autre côté de la Méditerranée, dans les Aurès, la Kabylie ou l’Ouarsenis.
25.000 Français sont morts durant cette période sombre. « La violence du déracinement, la rudesse de l’intégration ont longtemps empêché cette blessure de l’histoire de se cicatriser, a-t-il rappelé avant de lancer : « Notre conscience collective nous ordonne de ne jamais l’oublier. »
Plusieurs gerbes ont ensuite été déposées au pied des stèles par la directrice de cabinet de la préfète, Ségolène Cavalière, le général Maury, commandant la place d’armes de Tours, Olivier Lebreton, adjoint au maire de Tours, et Thomas Gelfi, vice-président du conseil départemental.
Quelque seize porte-drapeaux réunis pour la circonstance apportaient encore plus de solennité à cet hommage en présence du sous-préfet de l’arrondissement, de la sénatrice, du maire de Chinon, ainsi que de nombreux élus de Chinon Vienne et Loire, des représentants des associations patriotiques, et d’un public relativement nombreux. Le sous-préfet en a profité pour déplorer que les valeurs républicaines aient été bafouées par les casseurs de l’Arc de Triomphe, précisant bien qu’il ne faisait nullement l’amalgame avec les manifestants.
Jean-Luc Dupont, pour sa part, s’est félicité de la représentation des communes de Chinon Vienne et Loire à une cérémonie unitaire. Même si Huismes et Beaumont avaient encore préféré faire leur propre cérémonie.
Source : NR
mercredi 5 décembre 2018
lundi 3 décembre 2018
mercredi 28 novembre 2018
jeudi 15 novembre 2018
lundi 12 novembre 2018
COMMEMORATION : 11 novembre 2018
Tours entretient la flamme du souvenir :
La petite histoire de la « Grande Guerre » a retenu que les cloches de l’ensemble des paroisses de la ville ont retenti à Tours le 11 novembre 1918 à 16 h 30, après l’annonce de la fin du conflit. Cent ans plus tard, à 11 h dimanche matin, les cloches ont de nouveau sonné, en écho cette fois à la cérémonie organisée de commémoration du centenaire de l’armistice. Une volée pour un moment de recueillement et d’hommage aux poilus, aujourd’hui tous disparus.
Deux nouveaux “ morts pour la France ” honorés« Françaises, Français, de toutes générations et de tous horizons, nous voilà rassemblés en ce 11 novembre pour commémorer la victoire mais aussi pour célébrer la paix. Nous sommes réunis dans nos communes, devant nos monuments pour rendre hommage et dire notre reconnaissance à tous ceux qui nous ont défendus hier mais aussi à tous ceux qui nous défendent aujourd’hui, jusqu’au sacrifice de leur vie », a notamment déclaré la préfète Corinne Orzechowski, lisant un message du président Emmanuel Macron lors de la cérémonie organisée place Anatole-France.
Sous un ciel pluvieux, des élèves d’écoles primaires tourangelles ont pris une part active au devoir de mémoire en lisant des extraits d’une lettre d’un poilu de Sainte-Maure-de-Touraine et en chantant La Marseillaise a cappella. Lors du second temps de la cérémonie, organisé à l’hôtel de ville, des membres du conseil municipal des jeunes ont également lu des extraits de texte de poilus, alors qu’étaient dévoilés deux nouveaux noms de Tourangeaux morts pour la France : le poilu Jean-Alphonse Cabanès et l’infirmière Marcelle Louvat.
« Se souvenir avec respect et recueillement de ce passé collectif est aujourd’hui un devoir », a déclaré Christophe Bouchet, rendant « un hommage solennel à tous nos poilus » et rappelant le « rôle essentiel de toutes les femmes dans la guerre ». Vingt-quatre heures après avoir débaptisé l’avenue Charles-Bedaux, homme d’affaires proches des nazis, pour la renommer avenue Thérèse-Voisin, résistante tourangelle, le maire a de nouveau mis en garde contre « le repli sur soi » : « Malgré tous les faux-semblants de modernité dont il se pare, le nationalisme sera toujours la guerre ! », a-t-il lancé. « Les souffrances et les morts de la Grande Guerre nous le rappellent justement. »
Deux nouveaux “ morts pour la France ” honorés« Françaises, Français, de toutes générations et de tous horizons, nous voilà rassemblés en ce 11 novembre pour commémorer la victoire mais aussi pour célébrer la paix. Nous sommes réunis dans nos communes, devant nos monuments pour rendre hommage et dire notre reconnaissance à tous ceux qui nous ont défendus hier mais aussi à tous ceux qui nous défendent aujourd’hui, jusqu’au sacrifice de leur vie », a notamment déclaré la préfète Corinne Orzechowski, lisant un message du président Emmanuel Macron lors de la cérémonie organisée place Anatole-France.
Sous un ciel pluvieux, des élèves d’écoles primaires tourangelles ont pris une part active au devoir de mémoire en lisant des extraits d’une lettre d’un poilu de Sainte-Maure-de-Touraine et en chantant La Marseillaise a cappella. Lors du second temps de la cérémonie, organisé à l’hôtel de ville, des membres du conseil municipal des jeunes ont également lu des extraits de texte de poilus, alors qu’étaient dévoilés deux nouveaux noms de Tourangeaux morts pour la France : le poilu Jean-Alphonse Cabanès et l’infirmière Marcelle Louvat.
« Se souvenir avec respect et recueillement de ce passé collectif est aujourd’hui un devoir », a déclaré Christophe Bouchet, rendant « un hommage solennel à tous nos poilus » et rappelant le « rôle essentiel de toutes les femmes dans la guerre ». Vingt-quatre heures après avoir débaptisé l’avenue Charles-Bedaux, homme d’affaires proches des nazis, pour la renommer avenue Thérèse-Voisin, résistante tourangelle, le maire a de nouveau mis en garde contre « le repli sur soi » : « Malgré tous les faux-semblants de modernité dont il se pare, le nationalisme sera toujours la guerre ! », a-t-il lancé. « Les souffrances et les morts de la Grande Guerre nous le rappellent justement. »
Source : NR
dimanche 11 novembre 2018
mercredi 7 novembre 2018
lundi 5 novembre 2018
DECORATION : Concession de la médaille militaire à Michel DESTOUCHES
Félicitations à notre compagnon et adhérent pour sa concession.
Par décret du Président de la République en date du 30 octobre 2018,
pris sur le rapport du Premier ministre et de la ministre des armées et
visé pour son exécution par le grand chancelier de la Légion d'honneur,
vu la déclaration du conseil de l'ordre en date du 4 octobre 2018
portant que les présentes concessions de la médaille militaire sont
faites en conformité des lois, décrets et règlements en vigueur, les
personnels militaires n'appartenant pas à l'armée active, désignés
ci-après, sont décorés de la médaille militaire : Michel DESTOUCHES, hussard de 1ere classe, arme blindée et cavalerie. Cité.
https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000037553192&dateTexte=&categorieLien=id
jeudi 25 octobre 2018
jeudi 27 septembre 2018
mardi 25 septembre 2018
lundi 24 septembre 2018
samedi 15 septembre 2018
lundi 10 septembre 2018
FNCV37 : Lettre de félicitation de la jeunesse ds sports et de l'engagement associatif
La Fédération française des Médaillés de la jeunesse des sports et de l’engagement associatif (FFMJSEA) a pour vocation d’encourager le développement des pratiques sportives et éducatives, mais a aussi la volonté d’honorer l’ensemble des personnes bénévoles, hommes ou femmes, engagées dans les mouvements associatifs sportifs ou socio-éducatifs.
Le vendredi 07 septembre, Joël Besnard, maire de Nouzilly et son adjoint, Jean Petitbon, recevaient le comité départemental d’Indre-et-Loire en l’occurrence Jean-Marie Bonneau et Pierre Bonneau, vice-présidents, ainsi que la secrétaire générale, Claudette Sestillange, pour remettre la « Lettre de Félicitation » du comité à 14 bénévoles ayant été sélectionnés pour leurs actions depuis de nombreuses années dans les différents clubs ou associations de la zone nord-est du département sélectionnées par les différents responsables de secteur, dont Joël Lefeuvre, qui a lui-même pratiqué le judo durant 45 ans.
Chacun, au cours de cette cérémonie, s’est vu attribuer cette lettre sous forme d’un diplôme. Les personnes honorées sont : Philippe Bernardet de Nouzilly, Pierre Grenouilloux de Saint-Ouen-les-Vignes, Jean-Mary de Monnaie, Yvon Bourgaut de Cerelles, Olivier Bouvet de Luynes, Jérôme Brouillon de Monnaie, Simone Delavie de Neuillé-Pont Pierre, Nicole Dennevault d’Auzouer-en- Touraine, Gérard Douadic de Rochecorbon, Jean-Michel Hamon de Rochecorbon, Bernard Joulin de Fondettes, Patrick Souty de Chanceaux-sur -Choisille, Dominique Tabourdeau de Pocé et Julie Vende de Crotelles.
Notre section tient à féliciter notre adhérent Dominique Tabourdeau pour cette récompense qu'il mérite dû à son engagement dans l'associatif depuis de nombreuses années.
mercredi 5 septembre 2018
COMMEMORATION : La libération de la ville de Tours
Le 1er septembre 1944, la ville de Tours était libérée des mains de l'armée allemande. C'est cette journée historique qu'a racontée samedi matin le maire Christophe Bouchet lors de la cérémonie commémorative du 74e anniversaire de la libération de la ville.
"Au soir du 1er septembre, Tours était un amas de décombres, avec 1.300 familles sans abri. Mais Tours était libre", a déclaré Christophe Bouchet à l'hôtel de ville, lors d'une courte cérémonie tenue en présence de la préfète Corinne Orzechowski, du président du Conseil départemental Jean-Gérard Paumier ou encore du député Philippe Chalumeau.
C'est le 12 août 1944 que l'armée du général
américain Patton avait repris le nord de l'Indre-et-Loire, poursuivant
ensuite sa progression, pour arriver aux portes de Tours à la fin du
mois. Le 1er septembre, à 7h30, les Allemands abandonnaient la ville,
après avoir fait exploser le pont du Cher.
Le souvenir de cette journée a également été évoqué lors d'une brève cérémonie au bureau de Poste du boulevard Béranger, en hommage aux 34 postiers morts en déportation et lors des combats de libération de la ville.
Ce jour-là était paru le premier numéro de La Nouvelle République et la
journée commença par une explosion, celle qui détruisit le pont sur le
Cher, miné par des Allemands sur le départ. Le 1er septembre 1944, Tours
était libérée, épilogue de plusieurs semaines d’attente et d’angoisse
parmi sa population. « Au soir, Tours était un amas de décombres, avec 1.300 familles sans abri. Mais Tours était libre », a déclaré ce samedi matin Christophe Bouchet, lors de la cérémonie organisée à l’hôtel de ville.
En présence de plusieurs élus (le président du conseil départemental
Jean-Gérard Paumier, le député Philippe Chalumeau, le conseiller
régional Jean-Patrick Gille) et de la préfète Corinne Orzechowski, le
maire de Tours a rappelé les principaux événements de cette journée
historique : l’arrivée à l’hôtel de ville de Jean Meunier, président du
Comité de libération de la ville et cofondateur de la NR, la
confiscation du matériel de l’imprimerie Arrault, l’arrestation du
préfet collaborateur Mussot et son remplacement par Robert Vivier… Après
le Débarquement de juin 1944, et les intenses bombardements sur la
ville qui suivirent, les troupes du général américain Patton étaient
parvenues dans le nord de l’Indre-et-Loire le 12 août. A la fin du mois,
Saint-Symphorien était libéré. Puis ce fut donc Tours, au cours d’une
journée qui vit le drapeau nazi piétiné sur les marches de la ville. « Dans
la douceur du soir, notre ville, avec le soutien de ses habitants,
pouvait entrevoir enfin le lointain rayon scintillant de la
reconstruction », a souligné Christophe Bouchet, hier, 74 ans après.
SOURCE : NR
mardi 17 juillet 2018
DECORATION : Promotion Alain CLERC, au grade d'Officier dans l'Ordre National de la Légion d'Honneur
La section d'Indre et Loire tient à féliciter Monsieur Alain CLERC, notre Président National de la Fédération Nationale des Combattants Volontaires et Vice-président de la Fédération Nationale André Maginot pour sa promotion au grade d'Officier dans l'Ordre National de la Légion d'Honneur. Chevalier du 12 juin 1998.
https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000037192898&dateTexte=&categorieLien=id
https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000037192898&dateTexte=&categorieLien=id
lundi 9 juillet 2018
mercredi 4 juillet 2018
mercredi 27 juin 2018
mardi 26 juin 2018
mardi 19 juin 2018
COMMEMORATION : Appel du 18 juin 1940
Tours se souvient :
Le 18 juin 1940, le général De Gaulle lançait son appel à la résistance depuis Londres. Soixante dix-huit ans plus tard, carrefour des Français-Libres, Tours s’est souvenu de cette date historique.
Celle où, « alors que la France est au plus bas, un homme seul se lève pour dire non à la résignation », a rappelé Yves Fournier, délégué régional de la Fondation de la France libre.
Devant les élèves des écoles Anatole-France et Maintenon – invités comme relais du discours du général, interprètes de « La Marseillaise » et transmetteurs de la liste des compagnons « libres » tourangeaux disparus – la cérémonie a voulu redire « l’actualité du message » de son sauveur.
« Notre pays n’est pas à l’abri de se confronter à nouveau aux mêmes choix », a martelé Yves Fournier, devant militaires, porte-drapeaux et élus.
« Rappelons-nous l’espoir, la volonté du général De Gaulle, qui proclame une certaine idée de la France dont il nous faut sans relâche continuer d’être dignes », a poursuivi Corinne Orzechowski, préfète d’Indre-et-Loire, reprenant les mots de Geneviève Darrieussecq, secrétaire d’État aux Armées.
Loches : L'écho de l'appel à la Résistance :
Bien peu l’ont entendu, ce jour-là. Plus nombreux sont ceux qui l’ont lu. L’appel du 18 juin 1940 du général de Gaulle résonnera pour toujours comme l’insurrection de ces consciences qui ont refusé le joug nazi. Hier à 18 h, en présence d’élèves du lycée Saint-Denis et de la directrice de cabinet de la préfète, les autorités et un public clairsemé ont pris part place de Verdun à la cérémonie commémorative de cet appel historique.
Chinon commémore l'Appel du 18 juin :
Anciens combattants, police municipale, sapeurs-pompiers, Croix-Rouge ; l’Appel du 18 juin a rassemblé. A l’occasion de son 78e anniversaire, une cinquantaine de personnes s’est rassemblée devant le monument de la Résistance.
Avant que les gerbes ne soient déposées, un extrait en a été diffusé. « La voix est celle d’un inconnu du grand public. Il entre dans une histoire hors de toutes séries, retrace Samuel Gesret, sous-préfet de Chinon. L’Appel du 18 juin a été décisif. Il est une référence pour la mémoire collective. » A son, tour, Jean-Luc Dupont s’est attardé sur un passage de l’appel du général De Gaulle. L’édile chinonais en appelle au symbole : « 78 ans après, nous pouvons toujours méditer ses paroles au vu de la situation mondiale. La guerre est différente, plus sournoise, les droits de l’homme sont attaqués. Nous n’avons pas vécu ces temps difficiles mais nous devons faire en sorte que perdure la paix. »
Le 18 juin 1940, le général De Gaulle lançait son appel à la résistance depuis Londres. Soixante dix-huit ans plus tard, carrefour des Français-Libres, Tours s’est souvenu de cette date historique.
Celle où, « alors que la France est au plus bas, un homme seul se lève pour dire non à la résignation », a rappelé Yves Fournier, délégué régional de la Fondation de la France libre.
Devant les élèves des écoles Anatole-France et Maintenon – invités comme relais du discours du général, interprètes de « La Marseillaise » et transmetteurs de la liste des compagnons « libres » tourangeaux disparus – la cérémonie a voulu redire « l’actualité du message » de son sauveur.
« Notre pays n’est pas à l’abri de se confronter à nouveau aux mêmes choix », a martelé Yves Fournier, devant militaires, porte-drapeaux et élus.
« Rappelons-nous l’espoir, la volonté du général De Gaulle, qui proclame une certaine idée de la France dont il nous faut sans relâche continuer d’être dignes », a poursuivi Corinne Orzechowski, préfète d’Indre-et-Loire, reprenant les mots de Geneviève Darrieussecq, secrétaire d’État aux Armées.
Loches : L'écho de l'appel à la Résistance :
Bien peu l’ont entendu, ce jour-là. Plus nombreux sont ceux qui l’ont lu. L’appel du 18 juin 1940 du général de Gaulle résonnera pour toujours comme l’insurrection de ces consciences qui ont refusé le joug nazi. Hier à 18 h, en présence d’élèves du lycée Saint-Denis et de la directrice de cabinet de la préfète, les autorités et un public clairsemé ont pris part place de Verdun à la cérémonie commémorative de cet appel historique.
Chinon commémore l'Appel du 18 juin :
Anciens combattants, police municipale, sapeurs-pompiers, Croix-Rouge ; l’Appel du 18 juin a rassemblé. A l’occasion de son 78e anniversaire, une cinquantaine de personnes s’est rassemblée devant le monument de la Résistance.
Avant que les gerbes ne soient déposées, un extrait en a été diffusé. « La voix est celle d’un inconnu du grand public. Il entre dans une histoire hors de toutes séries, retrace Samuel Gesret, sous-préfet de Chinon. L’Appel du 18 juin a été décisif. Il est une référence pour la mémoire collective. » A son, tour, Jean-Luc Dupont s’est attardé sur un passage de l’appel du général De Gaulle. L’édile chinonais en appelle au symbole : « 78 ans après, nous pouvons toujours méditer ses paroles au vu de la situation mondiale. La guerre est différente, plus sournoise, les droits de l’homme sont attaqués. Nous n’avons pas vécu ces temps difficiles mais nous devons faire en sorte que perdure la paix. »
Source : NR
mardi 12 juin 2018
COMMEMORATION : Guerre d’Indochine : le devoir de mémoire
Elle est souvent qualifiée de « guerre oubliée », la guerre d’Indochine (1945-1954). Vendredi, place Anatole-France à Tours, les autorités civiles et militaires ont rendu hommage aux soldats morts pour la France dans cette région du sud-est de l’Asie. 100.000 combattants de l’Union française y ont laissé leur vie. Des combats violents, d’abord contre l’occupant japonais puis contre le Viêt Minh, une organisation politique et paramilitaire vietnamienne. William Hausser a vécu ce conflit en première ligne entre 1949 et 1950. Il était dans le bataillon des forces spéciales : « J’ai beaucoup de camarades qui ont combattu à mes côtés et qui sont morts là-bas […] il est important pour moi de leur rendre hommage chaque année. » Pour ne pas les oublier justement, trois gerbes ont été déposées au pied de la stèle : « Soixante-quatre années ont passé, mais notre mémoire reste fidèle » estime dans son discours, Jean-Claude Gautier, le président d’honneur de l’Association des combattants de l’Union française (Acuf). La sous-préfète, Ségolène Cavaliere, a procédé ensuite à la lecture du message écrit par Geneviève Darrieussecq, la secrétaire d’État auprès de la ministre des Armées : « Nous honorons ceux qui ont fait leur devoir dans une guerre âpre et usante. Ils l’ont accompli sur les champs de bataille ou en captivité, mais toujours avec dévouement et abnégation. » Après la traditionnelle sonnerie aux morts, la Marseillaise a retenti sur la place avant que la cérémonie ne se termine.
Source : NR
dimanche 10 juin 2018
vendredi 1 juin 2018
mardi 29 mai 2018
lundi 28 mai 2018
COMMEMORATION : Une source d’admiration et de dignité dans l’épreuve
Aujourd’hui, la France honore l’Armée de l’ombre et salue la France de la résistance…
C’est par ces mots de la ministre de la Défense, que le secrétaire général de la préfecture, Jacques Lucbéreilh, ouvrait les cérémonies commémoratives de la Journée nationale de la Résistance, dimanche matin, devant le monument aux morts, place Anatole-France à Tours. Le 27 mai 1943, il y a 75 ans, dans un appartement du 48 de la rue du Four à Paris, était créé le Conseil national de la Résistance (CNR) sous la présidence de Jean Moulin. Les représentants de huit mouvements de résistance, de six partis politiques et de deux syndicats « unissaient leurs forces face à l’occupant et préparaient les grandes réformes de la France libérée ». La jeunesse joua un rôle essentiel dans cette armée de l’intérieur qui s’apprêtait à relever la République. C’est pourquoi, hier matin, des membres du Conseil municipal des jeunes étaient présents pour honorer, aux côtés des élus, des représentants de l’État et des militaires, la mémoire de ces résistants « qui demeurent une source d’admiration et de dignité dans l’épreuve ».
Entourés par de nombreux porte-drapeaux, par une délégation d’officiers et de sous-officiers, par les représentants d’associations d’anciens combattants, de résistants, de prisonniers de guerre, ces jeunes déposaient des gerbes de fleurs aux côtés du sénateur Serge Babary, du sous-préfet Lucbéreilh, du conseiller régional Jean-Patrick Gille, de Brigitte Garanger-Rousseau qui représentait le maire de Tours et de Cécile Chevillard, représentant le président du conseil départemental.
Source : NR
jeudi 17 mai 2018
COMMEMORATION : Cérémonie du 8 mai
A TOURS :
Trois ou quatre soldats n’ont pas résisté au soleil implacable et à une station debout prolongée, hier matin, place Anatole-France, lors des cérémonies du 73e anniversaire de la victoire de 1945. Il a fait chaud sous les calots (sous les képis aussi) et ces légers malaises ont nécessité les interventions des secouristes de la protection civile. En dehors de ces incidents, c’est une cérémonie réglée au millimètre qu’a présidé la préfète Corinne Orzechowski, aux côtés de nombreux officiers, de représentants d’anciens combattants, et d’élus, dont le maire de Tours Christophe Bouchet et le sénateur Serge Babary.
Plus de cent cinquante soldats participaient à cette prise d’armes placée sous l’autorité du général de division Pierre Liot de Norbécourt, commandant d’armes de la place de Tours. Ces troupes à pied se composaient de sections de la BA 705 et de la Direction des ressources humaines de l’Armée, de l’École nationale des sous-officiers de Saint-Maixent-l’École, de stagiaires de la préparation militaire marine, et d’officiers et de sous-officiers d’active et de réserve de la garnison.
Entre les discours, les revues de troupes et les dépôts de gerbes, le maire de Tours Christophe Bouchet ravivait la flamme du souvenir dans une cérémonie qui se concluait par des remises de décorations. Le général Liot de Norbécourt remettait à son ami de trente ans, le général de division Vuillemin, la médaille de commandeur dans l’Ordre national du mérite. Au colonel Stéphane Bellamy et au capitaine de vaisseau Benoît de Guibert, il remettait la médaille d’officier de l’ONM ; au lieutenant-colonel Sylvie Laure et à l’adjudant-chef Alphonse Sililo, celle de chevalier de l’ONM et au major Christophe Phelippeau, la Médaille militaire.
L’assistance, complétée d’une petite centaine de Tourangeaux venus assister aux cérémonies, dont beaucoup de jeunes adultes - c’est à souligner – se dirigeait ensuite vers l’hôtel de ville, au rythme de l’orchestre d’harmonie municipal.
Pour le vin d’honneur, lui aussi de tradition.
Source : NR
A MONTLOUIS SUR LOIRE :
Deux adhérents étaient présents, ce qui fut remarqué par les autorités, associations et citoyens.
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