Tours entretient la flamme du souvenir :
La petite histoire de la « Grande Guerre » a retenu que les cloches de l’ensemble des paroisses de la ville ont retenti à Tours le 11 novembre 1918 à 16 h 30, après l’annonce de la fin du conflit. Cent ans plus tard, à 11 h dimanche matin, les cloches ont de nouveau sonné, en écho cette fois à la cérémonie organisée de commémoration du centenaire de l’armistice. Une volée pour un moment de recueillement et d’hommage aux poilus, aujourd’hui tous disparus.
Deux nouveaux “ morts pour la France ” honorés« Françaises, Français, de toutes générations et de tous horizons, nous voilà rassemblés en ce 11 novembre pour commémorer la victoire mais aussi pour célébrer la paix. Nous sommes réunis dans nos communes, devant nos monuments pour rendre hommage et dire notre reconnaissance à tous ceux qui nous ont défendus hier mais aussi à tous ceux qui nous défendent aujourd’hui, jusqu’au sacrifice de leur vie », a notamment déclaré la préfète Corinne Orzechowski, lisant un message du président Emmanuel Macron lors de la cérémonie organisée place Anatole-France.
Sous un ciel pluvieux, des élèves d’écoles primaires tourangelles ont pris une part active au devoir de mémoire en lisant des extraits d’une lettre d’un poilu de Sainte-Maure-de-Touraine et en chantant La Marseillaise a cappella. Lors du second temps de la cérémonie, organisé à l’hôtel de ville, des membres du conseil municipal des jeunes ont également lu des extraits de texte de poilus, alors qu’étaient dévoilés deux nouveaux noms de Tourangeaux morts pour la France : le poilu Jean-Alphonse Cabanès et l’infirmière Marcelle Louvat.
« Se souvenir avec respect et recueillement de ce passé collectif est aujourd’hui un devoir », a déclaré Christophe Bouchet, rendant « un hommage solennel à tous nos poilus » et rappelant le « rôle essentiel de toutes les femmes dans la guerre ». Vingt-quatre heures après avoir débaptisé l’avenue Charles-Bedaux, homme d’affaires proches des nazis, pour la renommer avenue Thérèse-Voisin, résistante tourangelle, le maire a de nouveau mis en garde contre « le repli sur soi » : « Malgré tous les faux-semblants de modernité dont il se pare, le nationalisme sera toujours la guerre ! », a-t-il lancé. « Les souffrances et les morts de la Grande Guerre nous le rappellent justement. »
Deux nouveaux “ morts pour la France ” honorés« Françaises, Français, de toutes générations et de tous horizons, nous voilà rassemblés en ce 11 novembre pour commémorer la victoire mais aussi pour célébrer la paix. Nous sommes réunis dans nos communes, devant nos monuments pour rendre hommage et dire notre reconnaissance à tous ceux qui nous ont défendus hier mais aussi à tous ceux qui nous défendent aujourd’hui, jusqu’au sacrifice de leur vie », a notamment déclaré la préfète Corinne Orzechowski, lisant un message du président Emmanuel Macron lors de la cérémonie organisée place Anatole-France.
Sous un ciel pluvieux, des élèves d’écoles primaires tourangelles ont pris une part active au devoir de mémoire en lisant des extraits d’une lettre d’un poilu de Sainte-Maure-de-Touraine et en chantant La Marseillaise a cappella. Lors du second temps de la cérémonie, organisé à l’hôtel de ville, des membres du conseil municipal des jeunes ont également lu des extraits de texte de poilus, alors qu’étaient dévoilés deux nouveaux noms de Tourangeaux morts pour la France : le poilu Jean-Alphonse Cabanès et l’infirmière Marcelle Louvat.
« Se souvenir avec respect et recueillement de ce passé collectif est aujourd’hui un devoir », a déclaré Christophe Bouchet, rendant « un hommage solennel à tous nos poilus » et rappelant le « rôle essentiel de toutes les femmes dans la guerre ». Vingt-quatre heures après avoir débaptisé l’avenue Charles-Bedaux, homme d’affaires proches des nazis, pour la renommer avenue Thérèse-Voisin, résistante tourangelle, le maire a de nouveau mis en garde contre « le repli sur soi » : « Malgré tous les faux-semblants de modernité dont il se pare, le nationalisme sera toujours la guerre ! », a-t-il lancé. « Les souffrances et les morts de la Grande Guerre nous le rappellent justement. »
Source : NR
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