Le 27 avril, au monument aux morts place Anatole France, se déroulait la cérémonie de la journée du souvenir de la déportation.
La Journée nationale du souvenir des victimes de la déportation honore la mémoire de tous les déportés sans distinction et rend hommage à leur sacrifice. Cette journée a pour vocation de rappeler à tous ce drame historique majeur, les leçons qui s'en dégagent, pour que de tels faits ne se reproduisent plus.
La Journée nationale du souvenir des victimes de la déportation se déroule chaque année le dernier dimanche d’avril. Cette date a été retenue en raison de sa proximité avec la date anniversaire de la libération de la plupart des camps, et parce qu'elle ne se confondait avec aucune autre célébration nationale ou religieuse existante.
En France :
Au total, 75 721 Juifs furent déportés depuis la France, vers Auschwitz, Sobibor, Bergen-Belsen ou les forts de Kaunas et de Klaïpeda.
Sur les 75 721 Juifs, 24 500 étaient de nationalité française. Parmi eux se trouvaient 8 000 enfants de parents étrangers. Il y avait aussi un peu moins de 8 000 Juifs français naturalisés. Les Juifs étrangers étaient avant tout de nationalité polonaise et roumaine.
Au début de la Seconde Guerre mondiale, bien qu'il soit difficile de l'évaluer exactement, on considère que 330 000 Juifs, approximativement, résidaient en France et que la moitié d'entre eux était étrangère.
La Journée nationale du souvenir des victimes de la déportation honore la mémoire de tous les déportés sans distinction et rend hommage à leur sacrifice. Cette journée a pour vocation de rappeler à tous ce drame historique majeur, les leçons qui s'en dégagent, pour que de tels faits ne se reproduisent plus.
La Journée nationale du souvenir des victimes de la déportation se déroule chaque année le dernier dimanche d’avril. Cette date a été retenue en raison de sa proximité avec la date anniversaire de la libération de la plupart des camps, et parce qu'elle ne se confondait avec aucune autre célébration nationale ou religieuse existante.
En France :
Au total, 75 721 Juifs furent déportés depuis la France, vers Auschwitz, Sobibor, Bergen-Belsen ou les forts de Kaunas et de Klaïpeda.
Environ 2000 revinrent de déportation. Par ailleurs, environ 3 000 Juifs moururent dans les camps d’internement français, de maladie ou de malnutrition. 1 000 Juifs furent assassinés en France parce qu’ils étaient juifs, par les forces allemandes ou par la Milice française.
Il y eut en tout 79 convois de déportations. Le premier partit le 27 mars 1942 vers Auschwitz.
Le dernier quitta Drancy le 17 août 1944, pour rejoindre le camp de concentration de Buchenwald.
Il y eut en tout 79 convois de déportations. Le premier partit le 27 mars 1942 vers Auschwitz.
Le dernier quitta Drancy le 17 août 1944, pour rejoindre le camp de concentration de Buchenwald.
Sur les 75 721 Juifs, 24 500 étaient de nationalité française. Parmi eux se trouvaient 8 000 enfants de parents étrangers. Il y avait aussi un peu moins de 8 000 Juifs français naturalisés. Les Juifs étrangers étaient avant tout de nationalité polonaise et roumaine.
Au début de la Seconde Guerre mondiale, bien qu'il soit difficile de l'évaluer exactement, on considère que 330 000 Juifs, approximativement, résidaient en France et que la moitié d'entre eux était étrangère.